TEXTE À MÉDITER
« […] Lorsque nous nions le corps et la fluidité, nous sommes une source paisible qui exprime sa violence, lorsque nous sommes dans la paix, la fluidité et l’amour, nous sommes une source violente qui exprime son apaisement. Lorsque nous nous reconnaissons enfin, nous reconnaissons que nous sommes le miroir du monde. Nous dissolvons la culpabilité ancestrale par cette réalisation et, enfin, nous sommes prêts à pratiquer le yoga du retour de chaque sensation, de chaque pensée et de chaque émotion à la source de toute chose qui est espace, apaisement, joie. C’est cette acceptation, cette réintégration de la totalité qu’on appelle « Etre ». […] »
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